In Niagara, there are not only falls, but also fails. On the very last day of my Canadian trip, in a country definitely bilingual, I finally stumbled upon a some translations (oh right, there also was this waitress in Québec who gave me a « blanche » because she had no « white » beer).
H.I.E., y a pas à dire… Mais toujours réjouissant !
Ah oui, ça c’est une belle illusion, le bilinguisme au Canada. T’as réussi à te faire comprendre en français en Ontario? Et puis, au Québec, ce n’est pas toujours mieux non plus pour le sens inverse… Je me souviendrai toujours de la fois où je suis allée déjeuner dans un restaurant du Vieux-Québec avec un couple de couchsurfeurs américains… qui se sont esclaffés de rire devant le menu des « Not to be missed » (les incontournables, en français). En plein centre touristique… C’est toujours dommage de voir ça, encore plus dans un pays qui se targue d’être bilingue.
J’avoue que je n’ai pas essayé de parler français en Ontario, j’étais trop content de pouvoir pratiquer mon anglais! Mais j’ignorais qu’il pouvait y avoir tant de disparités (entre les parfaitement bilingues et les parfaitement pas-bilingues!)